CV falsifiés : les 3 mensonges les plus importants identifiés en janvier

Chaque mois, nous vous parlons des trois plus gros mensonges identifiés par nos équipes de vérification. Voici notre “top 3” pour janvier :

La faute grave maquillée en rupture conventionnelle

Un candidat du secteur des transports avait indiqué qu’une de ses dernières expériences s’était conclue par une rupture conventionnelle.

En contactant l’ancien employeur, il s’est avéré la collaboration ne s’était en fait pas arrêtée d’un commun accord, puisque l’homme avait été licencié pour faute grave. Pas tout à fait pareil.

D’assistante de rédaction d’acte à clerc de notaire

Nous avons parlé récemment des fraudes dans le domaine juridique, avec un cas extrême de faux avocat.

Dans un registre moins grave, mais plus fréquent, un client nous a demandé de vérifier le CV d’une personne qui présentait une expérience de clerc de notaire (bac +4).

Lorsque nos équipes ont contacté son ex-employeur, celui-ci nous a indiqué qu’elle avait été en fait assistante de rédaction d’actes (bac +2).

Vraie formation, faux diplôme

Enfin, une candidate affirmait être titulaire d’un Master 2 E-management dans le cadre d’une formation effectuée via un partenariat entre deux écoles.

En réalité, si elle a bien effectué la formation en E-management, celle-ci ne donnait pas le niveau master 2, ce dont nous nous sommes rendus compte après enquête.

Trois exemples parmi de nombreux cas de mensonges que nous trouvons sur les CV que nous vérifions ! En moyenne nous identifions que un dossier candidat sur 8 contient un écart majeur.

N’hésitez pas à nous contacter pour échanger sur la mise en place d’un contrôle des références de vos candidats.